Retour en Thailande

Après un peu plus de 2 mois en France et des fêtes de Noël en famille toujours aussi sympas, bruyantes, agitées, plus une petite virée en moto pour voir les copains, ma fille, mon frère et ma soeur, je repars pour la Thailande, avec toujours autant d’enthousiasme et d’envie de découvertes, mais avec quelques changements de stratégie.

Pour commencer, j’ai rangé ma valise et opté pour une grande housse de voyage qui contient mon sac de golf plus le minimum sanitaire et des vêtements pour 3 jours.

Inutile d’emporter des vêtements en Thailande où l’on trouve tout, de bonne qualité, pour si peu cher.

Second changement, je ne vais plus me lancer dans la même frénésie de découvertes qu’à mon premier séjour. J’avais beaucoup, beaucoup marché, chaque jour, parfois plus de 15 kilomètres, parcouru chaque endroit dans tous les sens et très vite, pour voir un maximum de temples, de marchés, de monuments, de gens.

J’agirai plus calmement cette fois, tout en continuant mes découvertes, bien entendu.

J’ai aussi l’intention de plus jouer au golf. C’est bien pour cela que j’ai emporté mon sac. D’une part je jouerai mieux (enfin j’espère) avec mon propre matériel. D’autre part, la location d’un sac dans certains golfs est plutôt chère, et je vais donc réaliser des économies substantielles qui me permettront d’acheter plus de green-fees

Retour donc a Bangkok le 4 mars en changeant d’aéroport de départ et de compagnie. Je trouve un vol depuis Toulouse avec la Lufthansa, escale à Munich, départ de Toulouse à 18h45 pour arriver à Bangkok le lendemain à 15h15, ca me semble pas mal. Le trajet entre Toulouse et Munich est opéré par Air Dolomiti sur un petit appareil brésilien Embraer 190, qui présente la particularité d’avoir peu de place pour les jambes et des compartiments pour les bagages cabine vraiment très étriqués. Bon, pour moins de 2 heures de vol, ca passe.

J’aime bien les cages à fumeurs à l’aéroport de Munich


La suite du voyage après 2 heures d’escale à Munich se fait dans un Airbus A350 dont la place pour les jambes n’est pas le point fort. Mais surtout le service à bord n’est vraiment pas à la hauteur.

Il s’écoulera plus de 30 minutes entre l’apport du plateau-repas et les boissons qui sont censées aller avec. Et le même problème se posera pour le petit-déjeuner. D’autre part, le service est tellement lent que les premiers passagers seront servis autour de 23h30 et les derniers vers 00h45. D’autre part, la qualité du repas et du breakfast est très largement inférieure à celle que j’ai observée sur Emirates ou Qatar Airways.

Bref, je pense qu’à moins de tarifs tout à fait exceptionnels, la Lufthansa, c’est fini pour moi.

Le pilotage est impeccable, il faisait beau tout le long. Atterrissage à Bangkok à l’heure et mon grand sac est bien là, mais passablement abîmé dessous. C’est un peu de ma faute, je saurai la prochaine fois qu’il faut protéger les montants du trépied du sac de golf. C’est eux qui avec les frottements, ont troué la belle housse Big Max. J’ai d’ailleurs observé depuis que sur la housse Décathlon actuellement vendue, il y a des renforts à ce niveau-là.

Très élégantes, ces voiturettes à l’aéroport de Bangkok

Enfin, je retrouve Bangkok, une ville toujours aussi polluée, agitée, vivante, attachante et dès l’aéroport, les effluves de la Thai food me chatouillent agréablement les narines.

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